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Hérissonnades et acrobaties

4 février 2011

Petite annonce

Le hérisson est un animal qui tricote, il faut le savoir. (Sinon, à quoi lui serviraient donc tous ses piquants, mmmh ?)

Parfois, il s'accorde le droit d'un gros plaisir "c'est-pas-raisonnable-mais-qu'est-ce-que-c'est-beau", et s'offre de quoi se tricoter un pull.

Et parfois, en commandant en ligne, il méjuge de la nuance, et s'octroie une belle déception à la réception du colis...

Que faire d'autre que revendre le fil si ardemment désiré, pour pouvoir financer le remplaçant ??...

A VENDRE, donc :

''Samarkand'' de Holst Garn, col. ''Antimony''

''Samarkand'' de Holst Garn, col. ''Antimony'' - détail

Holst Garn, qualité "Samarkand"
col. "Antimony"
(bleu pâle, moins "dur" que sur ces photos ; je tâcherai d'en prendre
une plus fidèle au coloris réel dès que la météo le permettra...)

75% laine, 25% soie
575 mètres / 100 grammes

échantillons annoncés :
25 mailles pour 10 cm en fil simple (3-3,5 mm)
16 mailles pour 10 cm en fil double (4-4,5 mm)

Quantité disponible : 975 grammes.
Prix : 4,00 € / 50 g, + frais de port (Colissimo)

Si cela vous intéresse, faites-moi signe dans les commentaires ou via le lien "Contactez l'auteur", en haut de la colonne de droite de ce blog !

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5 janvier 2011

Déjà ?!?

Il n'y a pas dix jours, mon lutin fêtait ses deux ans.

lutin_batteur_101225_blanc

Batterie (respectueuse de l'environnement et au son
vraiment musical, ce qui ne gâte rien) "Musical Band" de Plan Toys,
dispo chez Éveil et Jeux - merci tonton, merci tata !

Et voilà qu'aujourd'hui, je viens d'accomplir les démarches pour son inscription à l'école maternelle à la rentrée prochaine.

a_l_ecole_maternelle

Couverture de l'album "A l'école maternelle", de 100drine
(celle des "boîtes-à-tout")

Son inscription.
Pour son entrée en école maternelle.
A mon bébé.
A la rentrée prochaine.
Celle de septembre.
2011. Pas 2014 ou 2020.

Misère...

Mon tout-petit garçon, celui qui a encore tant de mal à prononcer les R (et on ne parle même pas des L !), celui qui ne considère actuellement le pot que comme un siège sympa sur lequel feuilleter ses Tchoupi (bien qu'il sache pertinemment à quoi l'objet est censé servir, puisqu'il nous l'apporte dès que nous-mêmes franchissons la porte des toilettes...), celui qui aime encore tant quand son papa lui dit "on joue au bébé ?" et le berce, allongé dans ses deux bras ? Celui-là ?? C'est celui-là qui devrait franchir dans quelques mois les grilles de l'école d'en-face ??

Non, franchement... Quelqu'un aurait-il l'amabilité de m'expliquer comment le temps a pu s'emballer de telle manière ?!?!? Je suis comme jet-lagguée, tout à coup...

23 décembre 2010

Vie parallèle

J'ai peine à croire que nous sommes le 23 décembre. Pourtant, comme si mon corps avait, lui, validé cette arrivée de l'hiver, me voici depuis quelques jours sans énergie, sans envie - du moins au plan professionnel. Ce n'est pourtant pas comme si le travail manquait ! mais je n'arrive pas à m'y mettre...

Je rêve alpaga moelleux, petit pull mignon pour jolie fillette, souple cotonnade et jupe caressante.
Je vis rédaction d'appels d'offres (mon baptême, et quel baptême !), vœux et gestion de la crise du logement - saisies-attributions, expulsions et autres malheurs, venez à moi !

Je voudrais faire le vide et vivre zen, et mon bureau n'a jamais été aussi encombré, et moi aussi perdue dans les papiers qui l'ensevelissent.

J'ai l'impression de marcher à côté de ma vie.

Et déjà, il est 18:35...

8 décembre 2010

Décembre

Décembre.

L'apaisement relatif du rythme général, le stress qui demeure, malgré tout. Les vacances commencent dans dix jours, c'est mon mantra. Je veux croire que cela résoudra les problèmes.

Un week-end auprès des cousines de l'Acrobate, quelques heures d'une douceur qui continue à me surprendre. Même la vilaine gastro qui a mis le petit bonhomme au tapis pendant tout notre séjour n'aura pas réussi à gâcher celui-ci. Je n'aimerais pas cette vie pour moi-même, mais je ne suis pas eux. Ils sont heureux, et c'est tout ce qui m'importe. L'amour ne demande pas l'identité, peut-être un minimum de similitudes. Je crois que malgré les bêtises et les débordements du schtroumpf, ils ont pris autant de plaisir que nous à ces retrouvailles trop longtemps différées par nos actualités respectives.

La volonté du papa de l'Acrobate que celui-ci ait un sapin à la maison pour les fêtes de fin d'année, mon refus initial. Le compromis finalement atteint : ok pour le sapin, mais alors, un vrai, un qui sente bon la résine (exit les Nordmann aseptisés) et qui ait encore ses racines, pour essayer de le faire reprendre après (et éviter que l'atmosphère surchauffée de notre appartement ne nous vaille de passer les fêtes avec un squelette de sapin complètement déplumé...). Nous n'avons ni jardin ni balcon, mais qu'importe ! il y a en bas de chez nous deux vasques pour l'instant garnies uniquement de mauvaises herbes...
Après avoir glané les décorations de-ci, de-là, l'achat hier midi d'un apies nobilis  qui a embaumé la voiture et que nous avons décoré de rouge et de blanc en famille, le soir venu. Si on m'avait dit qu'il y aurait un jour un sapin de Noël chez moi !...

La double attente de résultats, écrits d'un concours d'un côté, test d'accès à une formation de l'autre. La peur de l'échec, comme d'habitude, la peur d'avoir à affronter ce que j'imaginerai lire dans le regard des autres. Et puis, le souhait sincère d'avoir réussi, qui est quelque chose de tout à fait différent.

La neige, lourde et molle, qui tombe depuis plusieurs heures en un féérique mais handicapant ballet. Les appels successifs de l'Homme, parti en réunion à l'autre bout du département et coincé depuis le milieu de l'après-midi dans un trafic automobile qui patine et ne s'écoule plus. Sa décision de laisser la voiture en chemin pour parcourir à pieds les quinze kilomètres qui le séparent encore de la maison. Heureusement, il a réalisé en cours de chemin qu'il pouvait aller sonner chez quelqu'un et y trouver temporairement refuge. Pour autant, hors de question d'envisager de passer la nuit sur place : il pense réussir à rentrer plus facilement cette nuit ; je suis d'avis qu'il se trompe, mais il est des situations dans lesquelles il ne sert à rien d'essayer de discuter. Ce soir, je dînerai en tête-à-tête avec mon fils.

Décembre.

Où s'est donc enfuie l'année 2010, pour que je ne l'aie ainsi pas vue passer ?
Pourtant, c'est avec un mélange d'espoir et de soulagement que j'accueillerai 2011. Plaise au Ciel qu'elle soit plus clémente que celle-ci !...

29 octobre 2010

Novembre

Novembre sera bientôt là, avec son humide grisaille et ses prémices d'hiver. Octobre se termine, sans que j'aie eu vraiment le temps de profiter des derniers beaux jours qu'il avait à offrir ni de ces atmosphères si particulières de changement de saison. Mais pour une fois, je le verrai partir sans regrets. Il a vu trop de stress, trop de cris, trop de larmes, trop d'inquiétudes, trop de fatigue endiguée parce que comment faire autrement quand tout s'écroule autour de vous ? - trop de tout. Acide octobre, c'est avec soulagement que je te dis à l'année prochaine - nous essaierons de mieux nous trouver...

Novembre aux matinales langues de brume, m'offriras-tu enfin un peu de sérénité ?...

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18 octobre 2010

Réflexion(s)

Je ne viens finalement ici guère que lorsqu'il me faut poser les choses à plat, me défaire d'un surplus d'émotions, positives ou négatives. Etait-ce vraiment ainsi que j'avais envisagé cet endroit ? je ne sais pas.C'est ainsi qu'il a évolué, je l'accepte comme tel, en attendant que cela m'indispose et que je ne referme la porte sur ces idées et sensations lâchées.

La semaine dernière, une voix amie m'a dit que je me trouvais à une croisée des chemins, et qu'il me fallait soit agir pour me donner les moyens de changer ce qui m'indisposait, soit considérer que l'essentiel était ailleurs et m'accommoder de ce poil à gratter dans ma chemise en me concentrant sur ce qu'il m'offrait pour cet ailleurs - du temps, de la disponibilité, essentiellement.

Je ne me suis jamais perçue comme ambitieuse ; on me l'a d'ailleurs suffisamment reproché, dans une autre vie. En revanche, je pense être fière, j'aurais même écrit "orgueilleuse" si l'antique dictionnaire posé sur l'étagère derrière moi ne m'avait donné pour définition première "opinion trop avantageuse de soi-même, de son importance". En ce cas, non, vraiment, je ne pèche pas par excès d'orgueil.
Mais c'est vrai, je ne suis pas à une contradiction près, et je voudrais que les autres reconnaissent en moi une valeur que je ne m'accorde pas. Dans ces conditions, je renâcle à me voir reléguée d'autorité à des tâches de "petite main", dont je sais, au fond de moi, qu'elles n'utilisent pas à leur pleine mesure mes capacités intellectuelles. Est-ce là la cause fondamentale de mes problèmes de relations avec ma hiérarchie au cours des dernières années ? J'imagine , si j'essaye de me placer dans leurs chaussures, que je ne dois pas être une subalterne facile à gérer. Au fond, je voudrais être une collaboratrice, et non une subalterne - travailler sur un plan d'égalité tout en m'effaçant en termes hiérarchiques. Mais nous n'avons vraisemblablement  (logiquement ?) pas le même positionnement de la frontière entre les deux domaines...

L'automne s'installe, le rythme ne s'apaise pas, de nouveaux imprévus venant chaque semaine bousculer les plans péniblement élaborés. Je tergiverse, je procrastine, et pourtant je cours après le temps. Je crois qu'inconsciemment, mon choix est fait : je n'ai pas envie de me donner les moyens de changer la situation pour l'instant. Il faut croire que j'y trouve mon compte quelque part, que les choses n'ont pas encore atteint un degré d'insatisfaction tel qu'il me serait impossible de les tolérer plus longtemps.

Ma vie est ailleurs. A moi de définir cet ailleurs...

30 septembre 2010

Petite annonce

Elle vieillit. Elle a fini par accepter l'idée que son corps malmené, usé par les années et les aléas de la vie, ne pourrait plus longtemps encore lui garantir son autonomie. Elle a retardé l'échéance autant qu'elle l'a pu, a profité au maximum de la nature si belle dans cette trouée entre les arbres qu'elle a réussi, au fil des ans, a transformer en petit paradis terrestre, et puis elle s'y est résolue.

P1000955

Elle a vendu la maison nichée au coeur de la forêt des Landes, "ou de ce qu'il en reste après les dernières tempêtes", le parc défriché et replanté en jardin d'agrément dont seuls les lapins et les biches profitent, la grange retapée et transformée en atelier. Elle part. Dans un mois, elle quittera pour de bon ce petit hameau de quatre habitations où elle a passé treize ans et elle traversera la France d'ouest en est pour réapprendre à vivre en appartement, quarante ans plus tard.

Tout ne pourra pas la suivre. Il faudra renoncer aux stères et aux stères de bois soigneusement empilés entre deux chênes. Il faudra donner à l'ouvrier soigneux les quelques pièces d'outillage qui l'intéresseront. Il faudra abandonner aux nouveaux occupants, pourtant si désagréables, ces aménagements si astucieusement pensés, qui auraient pu être utiles ailleurs, mais qu'on n'aura sûrement pas la place de transporter ni d'installer là-bas. Et puis il faudra vendre des meubles, ces meubles en bois massif qui ont constitué sa dot ou qu'elle a choisis un à un et si amoureusement entretenus, ces meubles qu'aucun de ses enfants n'a la possibilité de récupérer pour les faire vivre après elle...

A VENDRE :

Chambre en noyer début de siècle
Chambre ancienne en noyer massif, fin 19e-début 20e :
lit 140 + armoire 3 portes

Salle à manger rustique en chêne
Salle à manger rustique en chêne massif :
table monastère + 2 bancs,
enfilade 3 portes

Si vous êtes intéressé(e) ou que vous connaissez quelqu'un qui soit susceptible de l'être et que vous souhaitez obtenir plus de détails, contactez-moi en laissant un commentaire sur ce billet ou via le lien en haut à droite de ce blog, je vous mettrai en contact avec leur propriétaire. D'avance, merci beaucoup pour elle...

20 septembre 2010

Invitée

Une demi-journée de congé posée pour cause de rendez-vous en fin de matinée. Après avoir déposé le bouchon à la crèche, je modifie mon itinéraire quotidien et, au lieu du chemin du bureau, reprends celui de la maison.

L'air surpris et un peu gêné du chien, roulé en boule dans un angle du canapé, me dit clairement qu'il avait commencé sa sieste matinale, et que ma présence inhabituelle dérange. Je me sens tout à coup comme invité dans ma propre maison, et, étrangement, ce n'est pas pour me déplaire...

8 septembre 2010

3:42

J'ai ouvert les yeux et, malgré la fatigue écrasante, j'ai immédiatement su que je ne me rendormirais pas de sitôt. J'ai tourné la tête, regardé l'heure au réveil. 3 heures 42. Il y a quelques mois déjà, à l'époque où c'étaient les tétées ou les dents qui me tiraient de mon sommeil nocturne, j'avais remarqué que c'était l'heure fatale, celle à laquelle mon corps décontenancé ne savait pas réagir. Celle qui me laissait, aux portes du matin, épuisée et insatisfaite, frustrée de ne pouvoir renouer avec ce repos tant désiré mais qui se dérobait à moi. Cette fois, je n'ai pas lutté et, après quelques minutes d'un optimisme aveugle où, les yeux lourds, j'ai tenté de replonger dans le sommeil, je me suis levée, le plus discrètement possible, pour essayer de laisser dormir celui qui partage mon lit.

Au fond, j'aimerais cette heure calme, si ce n'était pour la journée qui va suivre, immanquablement plombée par la fatigue.

Allongée dans le noir, sur le canapé, sur fond de ronflements canins, je devine les étirements du chat. Elle a changé de lieu de prédilection, a abandonné le fauteuil crapaud qu'elle ne quittait guère jusque récemment pour s'installer dans l'angle de l'un des canapés, à proximité d'une plante verte et loin de la porte-fenêtre, finalement jugée source de variations thermiques désagréables, j'imagine. Ce soir, c'est sur le repose-pieds du fauteuil à bascule qui a abrité la fin de ma grossesse et mes allaitements diurnes qu'elle a élu domicile. Je le sais confortable ; son sens du luxe tout félin me fait sourire...
Son vieux compagnon n'a pas les mêmes priorités. Il s'est installé par terre, le long du canapé sur lequel je suis venue distiller mon insomnie. Lui veut être le plus près possible de sa maîtresse ; tant pis si cela implique de dormir au dur, au froid. Je pourrais insister pour qu'il remonte sur l'autre canapé, recouvert d'un plaid accueillant. Je ne le ferai pas. Ma victoire ne serait qu'éphémère.

Dans quelques dizaines de minutes, Mademoiselle Chat s'étirera. Elle viendra peut-être me voir avant d'aller terminer ses croquettes du soir et d'explorer une nouvelle fois son territoire. Elle jouera et je m'étonnerai une nouvelle fois de la métamorphose qui s'est opérée en trois ans. Ma sauvageonne reste craintive et sauvage, mais elle vit désormais  sa vie de chat plus librement. Elle recherche les câlins, nous boude lorsque nous nous absentons, nous appelle parfois, et semble s'inquiéter de nos pleurs. Notre petite tornade domestique continue à l'inquiéter, lui qui aimerait tant la caresser !, mais elle se laisse néanmoins approcher, même par lui, de temps à autres. Je la crois heureuse, et cela m'apaise.

Dans quelques dizaines de minutes également, les lumières s'allumeront, toujours plus nombreuses, dans l'immeuble qui barre l'horizon, là-bas, au loin. Allongée dans la pénombre, j'imaginerai les vies qui s'éveillent. Échangerais-je la mienne avec l'une d'elles, si la possibilité m'en était donnée ? Au fond, je ne crois pas. C'est juste la mienne que je voudrais changer.

Vers six heures, la fatigue viendra, lourde et brutale. Et il ne sera plus l'heure d'y céder.

3 septembre 2010

Une (longue) liste

Je m'étais essayée au jeu il y a quelques années. Mon divorce et les bouleversements qu'il avaient causés dans ma vie m'avaient fait oublier les échéances, dédaigner ces petits et grands défis du quotidien. Aujourd'hui, j'ai à nouveau envie de tenter l'expérience :

 

101 défis pour 1 001 jours

 

LOISIRS CRÉATIFS :

  • M’organiser un coin loisirs créatifs, puisque l’Amoureux en a déjà accepté le principe…
  • Terminer le Lady February Sweater ou le boléro Récup’ avant la fin septembre 2010.
  • Terminer l’autre avant la Toussaint 2010.
  • Dresser l’inventaire de mes stocks de fils à tricoter et de tissus.
  • Mettre à jour mon stock de fils sur Ravelry, photos comprises.
  • Diminuer mon stock de fils : donner ou vendre ce que je n’utiliserai pas, affecter des projets aux fils restants, n’acheter une nouvelle pelote que si deux pelotes de l’inventaire initial ont disparu.
  • Apprendre et maîtriser une nouvelle technique au tricot.
  • Ressortir la machine à coudre et l’utiliser régulièrement : réaliser au moins un projet couture par mois.
  • Me coudre un vêtement ;  le trouver réussi.
  • Reprendre mes broderies au point de croix qui attendent depuis plusieurs années que je me penche à nouveau sur elles… Cette fois, les terminer.
  • Apprendre d’autres formes de broderie : broderie traditionnelle, broderie au ruban…
  • Réaliser au moins une recette de chacun des livres de cuisine que je possède. (Et pas uniquement des recettes sucrées, de préférence…)
  • Compiler mon propre livre de recettes préférées. Les miennes et celles de mes hommes.
  • Apprendre le travail du bois.
  • Construire des meubles et objets en bois, simples, mais stables et utilisables, pour renouer avec les gestes de mon arrière-grand-père.
  • M’essayer au moins une fois à la sculpture sur bois.
  • Renouer avec la photographie.
  • Réaliser un « journal photographique » avec une photo quotidienne pendant 31 jours.
  • Réaliser un « journal photographique » avec une photo quotidienne pendant 365 jours.
  • Demander à trois ami(e)s de faire mon portrait photographique.
  • Prendre au moins une photo de chacun(e) de mes ami(e)s. Et de mes proches.
  • Photographier un paysage, toujours du même point de vue. Capturer son évolution au fil des quatre saisons.
  • Dater les tirages photo de la première année du P’tit Loup ; les organiser dans l’album créé à son intention par ma tante.
  • Trier, renommer, classer les photos numériques et papier. Faire des tirages papier des premières, scanner les secondes, et ranger tout ce petit monde dans des albums et sur CD-rom.
  • Reprendre avec l’aide de mon père les diapos de notre famille prises par mon grand-père : les classer et en faire des copies numériques pour toute la fratrie.
  • Apprendre à me servir de PhotoShop Elements pour tirer le meilleur parti de mes photos numérique et éventuellement  m’essayer au digital scrapbooking.

RELATIONS HUMAINES ET ATTENTION AUX AUTRES :

  • Donner mon sang, au moins une fois par an. Donner mes plaquettes, au moins une fois par an.
  • Appeler les membres de ma famille et mon beau-père une fois par quinzaine.
  • Appeler les marraine et parrain de mon fils une fois par mois.
  • Répondre à mes mails perso dans la semaine suivant la réception des messages, sauf circonstances exceptionnelles.
  • Écrire au minimum une lettre manuscrite par mois – de préférence à des personnes à qui j’écris peu souvent : ils méritent d’autant plus que je fasse un petit effort quand je le fais enfin !
  • Faire un cadeau à 10 personnes, pas nécessairement proches, sans occasion particulière (ni anniversaire, ni Noël, etc.)
  • Dresser une liste des personnes qui comptent dans ma vie. Écrire pourquoi. Si possible, le leur dire.
  • Écrire à quelqu’un qui m’a inspirée pour les remercier.
  • Participer au défi "30 jours, 30 lettres".
  • Créer un « carnet d’amis » qui, outre leurs coordonnées et leurs dates importantes, recenseraient aussi, pour pouvoir mieux les recevoir et mieux les gâter, leurs goûts et leurs dégoûts, alimentaires ou artistiques, leurs éventuelles allergies, etc.

DÉVELOPPEMENT ET BIEN-ÊTRE PERSONNEL :

  • Chercher ma voie professionnelle.
  • Changer de poste / d’emploi.
  • Trouver mon équilibre professionnel.
  • Dresser une barrière plus imperméable entre ma vie privée et ma vie professionnelle : ce qui se passe chez moi ne regarde pas mes collègues.
  • Identifier 31 choses qui me rendent heureuse.
  • Établir une liste d'au moins 12 choses que j’aime à propos de moi-même. En coller un exemplaire dans mon agenda.
  • Pendant un mois, me coucher avant 22h30 les veilles de jours travaillés, avant minuit sinon.
  • "Débrancher" pendant un week-end : ni téléphone, ni mobile, ni Internet, ni ordinateur, ni télé... "Back to basics !"
  • Une fois par semaine, m’octroyer une « pause de fille » d’une heure dans la salle de bains, sans interférences masculines ou enfantines.
  • Au moins une fois par an, m’offrir un soin complet en institut de beauté.
  • Au moins une fois par an, m’offrir une journée beauté au hammam, seule ou avec une copine.
  • Faire un soin des pieds avec un(e) pédicure-podologue.
  • Faire une cure d’une semaine en thalasso. En profiter chaque seconde de chaque minute.
  • Trouver mon poids de forme ; le maintenir durablement (> 6 mois). Zermatiser.
  • Ne pas manger de sucreries pendant un mois.
  • Me remettre au sport, doucement mais régulièrement, jusqu’à arriver à courir 20 minutes sans avoir l’impression que ma cage thoracique va exploser.
  • Deux fois par an, me lever très tôt et profiter du monde encore endormi en allant marcher. En profiter pour rapporter des viennoiseries à la maison, pour le petit-déjeuner.
  • Interroger ma mère sur tous les points d’ombre de sa vie, avant qu’il ne soit trop tard et qu’elle ne puisse plus répondre à mes questions.
  • Remettre un peu de spiritualité dans ma vie ; y consacrer au moins une heure par semaine, ou 10 à 15 minutes par jour, pendant au moins un mois.
  • Chaque jour, pendant un an, noter dans un carnet un "petit bonheur" recelé par la journée, histoire de ré-apprendre à voir la beauté de la vie et le bon côté des choses, et de relativiser un peu...
  • M’essayer aux « 50 questions pour vous libérer l’esprit ».
  • Ne pas me plaindre, râler ou dire quelque chose de négatif pendant au moins une semaine.
  • Terminer ma thérapie. Pour l'instant. :-)

LOISIRS ET CULTURE :

  • Lire 52 livres en une année.
  • Passer à la bibliothèque au moins une fois par quinzaine, hors période de vacances.
  • M’inscrire sur GoodReads.com. Y piocher des idées de lecture, y faire des fiches de lecture pour que d’autres puissent faire de même.
  • Voir 10 grands classiques du cinéma que je ne connais pas encore.
  • Visiter 10 musées différents.
  • Profiter de ce que nous vivons (encore) en région parisienne, avec toutes les opportunités (notamment culturelles) que cela offre, en allant plus souvent au cinéma, au théâtre, à l’opéra, au concert, au musée... Si l'Amoureux ne veut pas m’y accompagner, y aller seule ou avec une copine, mais y aller.
  • Faire une randonnée par trimestre pendant un an.
  • Prendre une photo pour chacune des 26 lettres de l’alphabet.
  • Acheter une œuvre d’art. Pas nécessairement grosse, ni chère, même pas forcément un original. Mais quelque chose de beau et qui m’émeuve.
  • Faire un puzzle.

SPHÈRE DOMESTIQUE :

  • Pendant un mois au moins, établir chaque semaine un programme des menus pour la semaine suivante. M’y tenir, évidemment.
  • Pendant un mois au moins, faire les courses en n’achetant que ce qui est inscrit sur ma liste.
  • Sur 10 jours, ranger une pièce de la maison : faire du tri, vendre, donner ou jeter ce qui ne nous est pas utile, libérer de l’espace pour le reste et pour nous. Renouveler pour toutes les pièces de la maison.
  • Repasser ce qui le nécessite dans mon linge une fois par semaine pendant au moins 3 mois.
  • Ouvrir et traiter le courrier dès son arrivée, le ranger immédiatement.
  • Revoir le budget de la maison. Et le mien.
  • Radier les expressions « à découvert » et « dans le rouge » de mon vocabulaire bancaire de manière durable.

(RE-)DÉCOUVERTE(S) :

  • Retourner camper.
  • Attacher un message à un ballon, laisser celui-ci s’envoler.
  • Faire un bonhomme de neige. Faire une bataille de boules de neige.
  • Faire un voyage en montgolfière.
  • Me baigner nue dans la mer.
  • Me baigner nue dans la mer, de nuit.
  • Retourner au zoo pour la 1e fois depuis plusieurs décennies, pour y emmener mon fils.
  • Découvrir un endroit, à quelques centaines de mètres ou à l’autre bout du monde. Aller à sa rencontre, le laisser s’emparer de moi. Savourer, et engranger les souvenirs.
  • Visiter un phare. Monter tout en haut, en dominant mon vertige des escaliers.
  • Faire une liste de 25 endroits à visiter dans les environs (dans un rayon de 100 à 150 km). Aller les visiter.
  • Louer une péniche pour des vacances au fil de l’eau.
  • Repartir à l’étranger - même si ce n'est que  pour des vacances, cette fois.
  • Renouer avec le plaisir de m’allonger dans l’herbe et de trouver des formes dans les nuages
  • Partir de manière impromptue. Pour une nuit, pour un week-end. Partir comme je regrette de ne pas l’avoir fait avec mon ex-mari, un certain soir - pour voir le soleil se lever sur le Mont-Saint-Michel ou pour une autre destination.
  • Faire un stage de conduite de rallye.

DIVERS :

  • Établir ma liste de cadeaux de fin d’année avant le 15 novembre.
  • Avoir tous mes cadeaux de fin d’année prêts avant le 15 décembre.
  • Mettre 5 € dans une cagnotte pour chaque tâche de cette liste que je réalise.
  • Donner 5 € pour chaque tâche de cette liste que je n’aurai pas réalisé à la fin de ce défi, hormis celle-ci, bien sûr !
  • Mettre à jour mon iPod pour pouvoir l’utiliser au bureau.
  • Réparer ceux de mes bijoux qui en ont besoin ; remplacer les chaines cassées.
  • Décider que faire avec ma bague de fiançailles et mon alliance, ainsi qu’avec mes deux aigue-marines.
  • Passer un mois sans rien acheter qui ne soit d’absolue nécessité.
  • Organiser et ranger les papiers. Centraliser et classer mes fichiers sur le Mac.
  • Apprendre enfin à bien utiliser le Mac.

 

Bilan le 31 mai 2013, il paraît !

 

06 sept. 2010 : ma liste a encore besoin d'être retravaillée, pour en supprimer tous les défis trop vagues, trop généraux. Du coup, pour l'instant, elle compte plus de 101 points. Tant pis !

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